Votre enfant épanoui,
bien dans son corps
et dans son écriture ?
C’est possible avec
la graphothérapie et les réflexes archaïques !
Votre enfant (ou ado) se plaint de douleur après avoir écrit ? Son écriture est lente et/ou peu lisible ?
Sa feuille manque de soin ? Votre enfant trouve qu’il écrit trop ?
Il a reçu un diagnostic de dysgraphie ou il a un trouble de l’écriture ?
Alors, la graphothérapie est pour lui !
Votre enfant ne tient pas en place, se tortille ? Nager est difficile pour vous ou votre enfant ?
Votre enfant est (soupçonné) dys (dyslexique, dysgraphique, dyscalculique, …)
ou présente des difficultés à la lecture, l’écriture, l’expression orale ou les math ?
Vous ou votre enfant êtes TDA/H ou Asperger ? Vous ou votre enfant a été propre après 5 ans ?
Vous êtes sujet au burn out ?
Alors, des réflexes archaïques sont probablement encore actifs !
Qu’est-ce que la Graphothérapie
- Il a une écriture peu lisible
- Il écrit lentement
- Il se plaint de douleurs (doigts, poignets, …)
- Ses enseignants pointent un manque de soin
- Il rechigne à faire ses devoirs
- Gauchers contrariés
- Réapprentissage de l’écriture suite à un accident à la main scriptrice
- Apprentissage de l’écriture suite à un changement de main scriptrice
- Amélioration de l’aspect de son écriture (lisibilité, esthétique) ou pour cause de lenteur ou de douleur
Que sont les réflexes archaïques
Les réflexes archaïques sont aussi appelés réflexes primitifs ou primordiaux.
Ces réflexes, comme tous les réflexes, sont des mouvements involontaires. La différence est qu’ils sont effectués par les bébés (et déjà in utero, en réaction à un stimulus sensoriel ou moteur.
La présence de ceux-ci (jusqu’à environ 2 ans) est l’indication que le système nerveux du bébé et du petit enfant fonctionne bien. En effet, leur présence va développer le tonus musculaire, l’équilibre, la coordination, la latéralité, la motricité fine, …
On dénombre environ 70 réflexes qui, idéalement doivent émerger (« apparaître »), atteindre leur paroxysme avant de s’intégrer (« disparaître »). Après l’intégration des réflexes archaïques, se développent alors les réflexes de transition puis les réflexes posturaux et de vie.
Le schéma des réflexes, une fois intégré, n’est pas oublié par le corps qui peut, en cas de nécessité, le réactiver (ex : en cas d’accident de voiture, il est possible qu’un réflexe se réactive pour vous protéger du « coup du lapin »).
Que se passe-t-il si certains réflexes ne sont pas intégrés ? Ils vont venir parasiter la suite du développement de l’enfant, que ce soit au niveau émotionnel, postural ou dans les apprentissages (lien qui a été confirmé par les neurosciences).
Ces difficultés vont surtout se manifester au début de la scolarité et vont perdurer à l’âge adulte si aucune action n’est prise. Les enfants sont alors, et souvent, envoyés faire de la psychomotricité, de la logopédie ou chez un.e ergothérapeute, alors qu’une prise en charge au niveau des réflexes archaïques permet de travailler la cause en complément de la conséquence.
L’absence d’intégration des réflexes a plusieurs causes : avant, pendant et après la naissance.
- Avant : tabagisme, alcool et drogue ; alitement prolongé ; stress émotionnels divers (décès, rupture sentimentale, …).
- Pendant : césarienne, forceps, ventouses, accouchement long et lent, péridurale, détresse fœtale, …
- Après : période prolongée dans des sièges à coque (type Maxi-Cosy, Bumbo) ou des trotteurs, peu de contacts tactiles, présence d’écrans, peu de temps posé au sol et/ou sur le ventre, relation parentale conflictuelle, …
Parmi les difficultés qui peuvent être rencontrées :
- « dys » : dysgraphique, dyslexique, dyscalculique, dysorthographique, … ou troubles associés
- TDA/H et/ou Asperger soupçonné ou confirmé
- crayons, bics, stylos mâchouillés
- pieds enroulés autour des pieds de chaises
- difficulté à reconnaître sa droite de sa gauche
- énurésie (pipi au lit ou propreté acquise après 5 ans ou encore manque de maîtrise de la vessie)
- apprentissage difficile du vélo ou manque d’équilibre
- agitation, coordination, maladresse
- hypersensibilité
- apprentissage difficile de la natation, difficulté avec les jeux de balles
- besoin de couper les étiquettes des vêtements ou aversion pour les vêtements serrés
- trouble du langage
- phobies, anxiété, insécurité, panique
- besoin de routines
- troubles du sommeil
- difficulté du traitement auditif
- n’aime pas marcher pieds nus
- très chatouilleux
- course à pied « bizarre »
- perfectionnisme
- burn out
- mouvement de la bouche en écrivant, coupant aux ciseaux, …
- mal des transports
- …
Les réflexes archaïques sont les 1ers qui existent en début de vie et les derniers qui restent en fin de vie.
Pour qui ?
La graphothérapie s’adresse à toutes et tous, à partir du moment où l’enfant est scolarisé (dès la maternelle) et sans limite d’âge.
Chez les enfants de maternelles (voire 1re ou 2e primaire), le travail effectué sera surtout préventif.
Ensuite, le travail sera plus de l’ordre de la rééducation, de manière ludique.
Chez les adultes, le travail sera fonction de la demande : (ré)apprentissage de l’écriture pour cause d’accident ou de changement de main, amélioration de l’aspect de l’écriture, … se travailleront différemment.
En réflexes archaïques, la prise en charge peut aller de la vie intra utérine (et donc sur la mère enceinte) et sans limite d’âge.
La prise en charge est similaire pour tous, sauf pour les enfants n’ayant pas encore acquis le langage.
Les buts et bienfaits principaux
